Petit plaisir caché #11

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Qui n’aime pas les bonbons sort de là. (Vanne nulle). J’ai toujours aimé les bonbons. J’ai fait pas mal de bêtises à cause de ça – oui, je sais, on dirait pas, mais ce n’est pas le sujet de l’article.

Les bonbons. Le sucre. Je pense que beaucoup d’enfants aiment les bonbons. Moi j’adore les bonbons. Quand j’étais petite, je pouvais me faire des orgies de bonbons – je pense vraiment que j’ai toujours été dans l’excès concernant cela – et je m’en foutais. Et puis, je crois que j’en ai déjà parlé, cela n’aidait pas que les bonbons soient interdits chez mes parents – ça et tout ce qui était goûter ou ce genre de choses. Alors je les achetais en cachette (pas si en cachette que ça, je le sais maintenant) et je les cachais dans mes tiroirs, dans mon armoire, sous mon lit, dans tous les endroits possibles et imaginables pour ne pas que mes parents – surtout ma mère – les trouvent (Spoilers : ils les ont trouvés…).

Et puis, je me suis un peu assagie quand j’étais au lycée, je crois et à la fac.

Et quand j’ai eu mon premier appart, quand j’ai commencé à vivre seule, j’ai replongé. Pourquoi je ne mets pas de guillemets ? Parce que je pense que les bonbons peuvent être considérés comme une drogue. Moins graves que d’autres drogues, c’est clair. Mais quand même. Parce que ça rend accroc.

Mais qu’est-ce que c’est bon. J’adore, je sais que c’est mauvais, mais c’est bon. J’adore presque tous les bonbons. Bon certains, non, faut pas déconner – genre… les bouteilles rose et bleu, sorry guys. Et c’est mon pêché mignon. J’en mange de moins en moins ces derniers temps mais je me fais plaisir de temps en temps et voilà, c’est trop bien. Je pense que justement le fait d’en prendre de temps en temps, ça fait un genre de « sevrage » déjà et puis ça fait plus plaisir que d’en manger tout le temps.