
Comme j’en ai déjà parlé dans cet article, j’ai un plan que je ne ferai peut-être un jour mais je ne sais pas vraiment quand et si ça se fera. Cette idée d’école de la vie, de cours de trucs qu’on nous apprend pas, c’est mon plan Z. Parce que j’ai besoin de me rassurer.
A l’heure où j’écris ces lignes, je suis encore en CDI. J’ai cette sécurité. J’ai la sécurité de ne pas trop me demander ce qui se passe pour moi, j’ai un travail et, virtuellement, on ne peut pas me virer. On peut toujours virer quelqu’un, je le sais. Mais je fais bien mon boulot, je fais ce qu’on me demande et plus, alors je suis tranquille. Ma conscience professionnelle m’empêche de perdre ma sécurité.
Parce que la sécurité, pour moi, c’est une de mes valeurs principale. Je n’ai pas envie de la perdre. Je sais, oui, je sais que je peux la trouver ailleurs, je ne suis pas stupide.
Mais j’ai toujours, dans un coin de ma tête, le plan B. Le plan B, c’est quoi ? C’est la suite. Après ce travail. Pourquoi j’ai commencé à y penser ? Parce que, au début de 2021, on va savoir si le contrat que nous avons va être reconduit ou pas. Et s’il est caduque, à compter du 1er janvier 2022, on n’a plus de boulot – et en fait ce sera au 1er janvier 023, puisque ça a été repoussé pour le moment. Enfin, si. Mais on a moins de boulot. Notre contrat principal, celui sur lequel on passe 98 pour cent de nos journées, va partir, peut-être. Et quand j’ai appris ça, j’ai décidé de me dire que je n’allais pas venir au boulot juste pour venir au boulot. Et alors, j’ai commencé à chercher mon plan B, mon plan C…
Mon plan B, c’est d’envoyer des CV et de retrouver dans un peu près la même chose que j’ai maintenant. Un boulot alimentaire, parce que ça me correspond bien, et que je peux développer mes propres choses à côté.
Mon plan C, c’est de faire une formation. De quoi, je ne sais pas. Sans doute dans le web ou quelque chose dans le genre. Pourquoi ? Je ne sais pas. Sans doute, dans un coin de ma tête, c’est parce que ça donne des opportunités ? Peut-être. En tout cas, j’aimerai bien en apprendre plus sur cela. Ou sur autre chose. On verra.
Mon plan D, c’est de partir à l’étranger et de trouver du boulot là-bas. Pas forcément dans une école, parce que non. Peut-être un truc français relocalisé.
Mon plan E, c’est de me consacrer à l’écriture et d’essayer d’en vivre – j’avais même pas remarqué que ça donnait E comme Ecriture. Essayer, hein, je dis bien. Mais c’est loin dans ma liste.
Mon plan F, c’est de prendre une année sabbatique.
Mon plan Z, c’est de bosser dans la même boite que ma meilleure amie.
Je sais que ça ne sert à rien, virtuellement, d’avoir autant de plan, mais ça me rassure. Parce que je sais que j’ai toujours une solution, si un jour je n’ai plus de travail ou que je décide de partir. J’ai besoin d’un filet de sécurité.
Effectivement, c’est toujours riche d’envisager la, une suite où les suites, et leurs conséquences,
Mettre à jour son CV et faire des bilans de compétences est très intéressant. Le marché de l’emploi est très dynamique en ce moment pour de nouveaux emplois et de nouvelles activités, mon fils jeune ingénieur dans un domaine actuellement fermé à l’embauche surfe avec joie sur tous ces activités en transition et se régale d’un emploi à un autre en attendant une opportunité intéressante,
Le plan E a de l’avenir également avec les processus de dématérialisation et un métier très ancien comme Écrivain public par exemple en complément de revenus pour les métiers de l’écriture,
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