Alors alors… l’araignée gipsy… Je sors.
Donc aujourd’hui, il s’est passé un truc de fou. Non, c’est faux. Enfin bref. Alors non, je n’ai pas écrit 127 pages. Sinon, ce serait VRAIMENT un truc de fou.
Je suis actuellement dans le correction du tome 4 de ma saga et ça passe, pour moi, par une relecture complète avant d’entamer la correction à proprement parler. J’ai du en parler dans cet article. Et je me donne une date butoir parce que pourquoi pas. Et ce matin, je me suis réveillée en me disant « ah, bah c’est aujourd’hui que tu finis de relire ». Sauf que, comme le titre l’indique, il restait 127 pages. Des pages A4, hein… parce que sinon, c’est pas drôle. 29 chapitres, presque toute ma troisième partie. Et j’ai mis 4h.
Et en plein milieu, je me suis dit « je suis dans ma relecture, sortez-moi de là ! » (si t’as la ref, tu as mon respect, ou pas). Parce que c’est dur déjà de lire autant mais de lire autant ton travail et ton travail pas poli, rogné, amélioré, c’est encore plus dur. Mais je l’ai fait !
Et vous savez quoi ? Je me suis même surprise à être embarquée, à vouloir savoir la suite (alors que je la connais puisque c’est moi qui l’ai écrite), comme si j’étais vraiment une lectrice. Et ça m’a fait un drôle de truc. Un truc que j’ai pas l’habitude de ressentir. Parce que ça ne se présente vraiment pas souvent.
Ce sentiment ?
La fierté.
Allez je vous laisse, bonne soirée. Je vais me reposer.
Hein quoi ? La réécriture ?
Arf…
Oh purée, c’est le 666 article que je poste…