
Déroulé de la journée
Réveil à 7h. J’ai traîné dans mon lit jusqu’à 9h. Traîné ? Ouais. Je peux traîner. Je suis ce genre de personne … FAUX. Je suis rien du tout. Juste, je bosse samedi matin et donc je fais moins d’heures dans la semaine. Aujourd’hui, je commence à 12h30.
J’ai quand même réussi à me lever donc vers 9h. Et, attention (mesdames et messieurs, dans un instant, ça va commencer) j’ai fait des trucs ! Ouais. Dingue, je sais. Dingue pour moi, en tout cas. Ça faisait… deux semaines que j’avais fini deux bouquins que je n’avais toujours pas pris le temps de chroniquer sur mon blog lecture – qui est toujours en pause mais faut pas croire que je ne fais pas d’articles – et j’ai pris le temps de faire ça ce matin. Et puis, j’avais loupé la vrai date de ce W-Log (initialement prévu pour dimanche 01 mai) alors je me suis dit que j’allais le faire aujourd’hui. Et je n’ai pas eu la flemme, comme hier.
Donc là, je prends le temps d’écrire. A titre exceptionnel. Je crois que je le disais déjà dans mes précédent W-Log, mais je n’ai toujours pas retrouver l’envie d’écrire. Elle est partie depuis février, quelque chose comme ça. Et j’ai beau savoir qu’elle va revenir, la bougre e fait désirer. Pourtant, récemment, j’ai voulu écrire. Un article, un début de roman, quelque chose. Mais je n’ai rien mis en pratique.
La vérité ? Je vais mal, encore et toujours. Mais je ne sais pas pourquoi. Je ne sais pas ce qui me rend comme ça mais ça ne va pas. Et si je me dis que c’est peut-être en partie à cause du fait que je ne créé plus (du tout) en ce moment, je n’ai pas encore la force, la foi ou l’envie d’y revenir. Par petites vagues, en postant une fois de temps en temps. Mais… ce n’est plus pareil. Je commence à avoir des idées de ce que je veux écrire mais ce n’est pas encore assez fort pour que je m’y mette.
Récemment, c’est comme si je découvrais de nouveau que je n’avais juste pas le temps de tout faire. Parce que j’aimerai avoir le temps pour tout. Mais je ne l’ai pas. Alors, il faut faire des choix. Et je ne sais pas ce que j’ai envie de choisir.
Je fais une pause de Twitch parce que ça prend trop de place dans ma vie. Mais pour le remplacer par quoi ? Je suis en train de me re-re-re-re-faire tout Desperate Housewives – en tout cas je suis bien partie pour. Je ne sais pas à quoi ça rime.
Attenez, je vais faire une liste de tout ce que je voudrais faire, on va voir ce que ça donne.
- Reprendre le blog
- Commencer mon prochain roman
- Lancer ma chaîne Youtube
- Reprendre en main mon compte instagram
- Lire
- Apprendre le dessin – pourquoi pas ?
Qui peut prendre le temps de faire tout ça dans une journée ? Quand tu rajoute le boulot, les temps incompressibles de transports en commun, le fait d’avoir un semblant de vie sociale et le fait qu’il faut dormir… je n’avance pas. Et je pense que ça m’agace.
Je sais, je me plains mais si tu ne veux pas lire, lis pas.
De façon étonnante – ou pas – je sens que mon esprit décante un peu. C’est normal. Mettre noir sur blanc ce qui ne va pas, ce que je veux faire m’a toujours aidé. Pourtant, je n’avais pas envie de le faire, pas envie de faire face à ce que je ne peux pas faire. Alors quoi ? Alors il faut que je priorise. Mais je ne sais pas encore dans quel ordre.
Bon, je vais essayer d’aller regarder ça et je vous reprends ce soir.
Vous le voyez venir, n’est-ce pas ? J’ai oublié. Enfin pas vraiment.
Je suis allée au bureau tranquillement. J’avais oublié qu’il y avait le pot d’anniversaire d’une collègue bref. La nana qui a commencé en même temps que moi ne vient pas depuis hier. Mais elle n’a pas daigne appeler ou quoi. Bref. Journée courte mais qui paraît longue.
Ce soir je suis passée chez mes parents, pris un bain, bien mangé. Je suis KO. Pour dire, il est 21h40 et je pense que je vais aller dormir. Bonne nuit les gens !
Chanson du jour
Pas de chanson.
Prochain W-Log : lundi 20 juin 2022.
[…] aussi : Mon W-Log de cette semaine. C’est toujours pas facile à […]
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Merci, tu as traduit ce que j’éprouve. A force de vouloir tout faire on ne fait rien. C’est comme ça, et puis un jour ça revient et on abat des montagnes. Je te laisse j’ai un prix Nobel à rédiger.
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