Point sur ma relation avec Deliveroo

J’en ai déjà parlé en long en large et même en travers de mon amour pour Deliveroo. Je suis sympa, tu le sais, j’en parle dans cet article, par exemple.

Mais bon, ça perce quand même bien le porte monnaie. Au bout d’un moment, ça commence à faire mal. Et donc, je me suis demandé ce qu’il advenait de ma relation avec ce service.

Alors déjà, depuis que j’ai déménagé en 2021, les livreurs ne trouvent quasiment jamais ma maison. Dommage, hein. Une fois sur deux, facile, si ce n’est plus, ils m’appellent et je dois leur expliquer où je suis. Genre encore hier soir à l’heure où j’écris ces lignes, le mec m’appelle, j’entendais quasiment rien. Il em dit qu’il est devant mais en fait carrément pas. Et genre, je le vois au bout d’un moment et j’ai du lui dire précisément « Arrêtez vous. Faites demi-tour. Là, y a une rue. Vous me voyez ? Je suis à côté d’une voiture rouge ». Mais je suis pas leur mère bordel.

Donc, ça, ça me fait me dire souvent que ça sert à rien que je commande, parce que je vais sans doute devoir donner des explications et la plupart du temps, flemme intersidérale. De plus en plus, je commande en début de moi et la fin du mois, moins. Normale. A la fin du mois, ya plus de thunasse. J’arrive environ à me restreindre quand même. Sauf certains mois où je me dis allez, ce mois-ci, on se fait plaisir.

J’arrive à avoir une relation plus seine maintenant avec ce service. Je ne culpabilise plus de trop l’utiliser. Je suis contente quand je l’utilise pas mais je m’autorise à l’utiliser plus quand j’ai la flemme. Je cuisine aussi. Enfin, quand j’arrive à me motiver. Du coup, je suis mieux avec tout ça. Et c’est top !

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